Ostrea vitæ
Ces photographies sont à lire comme des points d'ancrage, des points à situer dans le paysage organisés selon une cartographie personnelle.
Le travail s'est constitué comme une succession de retours au pays, échelonnés au début des années 2000. Des marches cadencées suivent une navigation aléatoire dans un temps déterminé par le rythme que s'approprient les ostréiculteurs pour travailler à marée basse. Tension transitoire d'un visible momentané qui n'est réel que pour créer ce territoire réinventé d'une marée à l'autre.
Des hommes, en absence de l'image, s'inscrivent dans l'histoire du lieu par des témoignages, des récits qui ont été la trame et la raison de cette série.
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